À Bordeaux, un centre d’accueil pour femmes victimes de violences conjugales a été vandalisé, ce qui a suscité la stupeur des responsables et conduit au dépôt d’une plainte.
Le vendredi 4 juillet, la plaque du centre Gisèle Halimi à Bordeaux a été arrachée, cassée et déposée sur la poignée de la porte, suite à quoi une plainte a été déposée pour destruction de bien sur une structure du service public et d’intérêt général, cet acte faisant suite à la dégradation d’une affiche de soutien aux droits des femmes deux semaines auparavant.
