À Reims, un vigneron est jugé pour avoir produit et vendu du faux champagne, reconnaissant avoir commis de graves erreurs.
Un vigneron de 56 ans et son épouse comparaissent devant le tribunal correctionnel de Reims pour avoir produit et vendu environ 800 000 bouteilles de faux champagne, fabriquées en mélangeant des vins espagnols et ardéchois avec des arômes et du gaz carbonique entre 2022 et 2023, suite à des signalements, le vigneron, également accusé d’escroquerie, d’usurpation d’appellation d’origine, d’abus de biens sociaux et de violences sexuelles, minimisant les volumes produits, affirmant avoir agi sous la pression d’un contrat avec la Scapest (Leclerc), impliquant d’autres personnes et faisant face à d’autres procédures judiciaires, dont une affaire douanière reportée à février 2026 et une incarcération au Maroc en 2024 pour chèques sans provision.
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