Après la victoire de Bruno Retailleau à la présidence des Républicains, Gabriel Attal a déclaré que ce parti n’était plus pro-européen.
Dans une interview accordée au Parisien, Gabriel Attal a souligné de profondes divergences avec Les Républicains, notamment concernant l’IVG, les thérapies de conversion, la fin de vie et la lutte contre la stigmatisation religieuse, tout en regrettant l’absence passée d’engagement de Renaissance sur des sujets régalienset en proposant de nouvelles mesures comme la systématisation des polices municipales dans les villes de plus de 10 000 habitants, la pérennisation de la vidéosurveillance avec algorithmes de détection, la création d’une prison de haute sécurité en Guyane, la suppression du juge d’application des peines, la mise en place de quotas et d’un système d’immigration à points, ainsi qu’un barème national de sanctions pour l’autorité à l’école et deux rendez-vous chez un professionnel de santé mentale avant 18 ans.
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