Près de Marseille, des agents pénitentiaires expriment leur révolte suite à une attaque de prisons, qualifiant le projet politique sous-jacent de « projet politique fondé sur la terreur ».
Suite à une attaque contre un surveillant pénitentiaire dont le véhicule a été incendié, 21 personnes ont été interpellées et mises en examen dans le cadre d’une enquête initialement menée par le PNAT, puis confiée à la Junalco, qui a estimé que les faits relevaient de la grande criminalité organisée plutôt que du terrorisme, malgré les inquiétudes et les protestations de syndicats pénitentiaires dénonçant une campagne d’intimidation structurée et exigeant une protection renforcée des agents et un débat national sur la menace narco-terroriste en milieu carcéral.