
Un an après une cyberattaque ayant visé la ville de Saint-Nazaire, un tiers des applications informatiques municipales restent hors service.
Un an après la cyberattaque du 10 avril 2024 ayant visé Saint-Nazaire, près d’un tiers des 350 applications internes de l’agglomération restent inopérantes, malgré la restauration progressive des services publics au printemps 2024, une faille de sécurité sur une adresse mail générique ayant permis aux pirates, via une méthode de force brute ou une base de données piratée, d’accéder aux serveurs, entraînant le blocage par rançongiciel d’une partie du réseau, la perte de données et le recours temporaire au travail manuel pour de nombreuses équipes, tandis que l’enquête judiciaire est menée par le parquet de Paris.