Neuf ans après ses révélations explosives concernant l’attentat de Nice, la policière Sandra Bertin comparaît à nouveau devant la justice.
Près de neuf ans après l’attentat de Nice du 14 juillet 2016, la policière municipale Sandra Bertin, poursuivie en citation directe pour dénonciations calomnieuses présumées concernant des pressions subies pour modifier son rapport sur le dispositif de sécurité de la promenade des Anglais, maintient ses accusations et attend le procès, renvoyé au 18 novembre, contestant les affirmations d’une commissaire de police qui la poursuit pour diffamation, tandis qu’une enquête se poursuit sur le dispositif de sécurité du 14 juillet 2016 impliquant, entre autres, l’ancien préfet Adolphe Colrat et le maire de Nice Christian Estrosi, alors que les deux principaux complices du terroriste ont formé un pourvoi en cassation après leur condamnation à 18 ans de réclusion criminelle.
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