
Le parquet a requis deux ans de prison avec sursis, cinq ans d’inéligibilité et 50 000 euros d’amende contre Valérie Bozzi, maire de Grosseto-Prugna, pour favoritisme et prise illégale d’intérêts dans un marché de vidéosurveillance.
Le parquet a requis deux ans de prison avec sursis, cinq ans d’inéligibilité et 50 000 euros d’amende contre Valérie Bozzi, maire de Grosseto-Prugna, soupçonnée de favoritisme et de prise illégale d’intérêts concernant un marché public de vidéosurveillance, ainsi qu’un an de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende contre son compagnon, et six mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende contre le chef d’entreprise impliqué, le jugement étant mis en délibéré au 14 mai.