
Dans une récente publication, l’écrivain Kamel Daoud critique le pouvoir algérien et ce qu’il qualifie de « presse de gauche », affirmant que le mensonge est un outil indispensable pour la pérennité de ce système.
Dans un entretien accordé au Monde, Kamel Daoud critique l’autoritarisme du pouvoir algérien qui réduit au silence ses opposants par l’intimidation, la montée des islamistes privatisant les espaces culturels, et une presse de gauche qu’il juge incapable de le percevoir au-delà d’un rôle d’auxiliaire idéologique imposé, le contraignant à choisir entre la neutralisation de ses convictions et le silence.