Les États-Unis sont interrogés sur la suffisance de leurs mesures de prévention face à la grippe aviaire, une maladie qui pourrait déclencher une nouvelle pandémie.
Aux États-Unis, un décès humain dû à la grippe aviaire H5N1, initialement limitée aux oiseaux puis aux mammifères dont les bovins depuis mars 2024, soulève des inquiétudes quant à la gestion de l’épidémie par les autorités américaines, critiquées pour leur manque de transparence et d’efforts de limitation, malgré la publication d’une étude suggérant des mutations du virus favorisant l’infection humaine et des appels à une surveillance accrue, à la vaccination des populations à risques et à une action plus proactive avant le changement d’administration présidentielle.
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