
À Mayotte, Daniel Cohn-Bendit a appelé à un freinage de l’immigration, la présentant comme la cause d’un « grand remplacement » sur l’île.
Suite au cyclone meurtrier de mi-décembre à Mayotte, les propos de Daniel Cohn-Bendit concernant la situation migratoire exceptionnelle de l’île, affirmant la nécessité de freiner une immigration qu’il qualifie de «grand remplacement» et faisant écho à une tribune de ministres appelant à une fermeté migratoire, ont suscité la colère d’une partie de la gauche qui lui reproche d’utiliser le discours de l’extrême droite.