Dans l’affaire des viols de Mazan, Aurore Bergé déplore que le viol soit un crime rarement avoué.
Suite à l’appel de 17 des 51 hommes condamnés dans l’affaire des viols de Mazan, la ministre Aurore Bergé a déploré le déni persistant des auteurs de viol, même face aux preuves, souhaitant l’inscription du consentement et sa définition précise dans le Code pénal, et rappelant l’examen prochain d’une proposition de loi visant à créer un délit de «contrôle coercitif» pour mieux lutter contre les violences conjugales, caractérisées par des manœuvres psychologiques visant à isoler et déstabiliser la victime avant les violences physiques et sexuelles.
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