Le 13 janvier, l’Iran aura des discussions avec des pays européens concernant son programme nucléaire en Suisse.
Le 13 janvier à Genève, l’Iran tiendra des discussions avec la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni concernant son programme nucléaire, qualifiées de «dialogue et consultation» et non de négociations, faisant suite à une réunion secrète en novembre en Suisse, une semaine avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, après qu’une résolution de l’AIEA a reproché à l’Iran un manque de coopération sur le nucléaire, provoquant une riposte iranienne avec la mise en service de centrifugeuses supplémentaires pour enrichir davantage son uranium, alors que l’Iran affirme que son programme nucléaire est à des fins civiles et nie vouloir se doter de l’arme atomique, malgré le fait qu’il est le seul État non doté d’armes nucléaires à enrichir de l’uranium à 60%, et malgré le retrait unilatéral des États-Unis de l’accord de Vienne de 2015 qui encadrait son programme nucléaire en échange d’un allègement des sanctions internationales, et tandis q ue le président iranien souhaite un allègement des sanctions pour relancer l’économie iranienne et est favorable à de nouvelles négociations pour relancer l’accord.
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