En 2024, les affaires de dopage impliquant Iga Swiatek et Jannik Sinner ont gravement entaché la crédibilité du tennis dans sa prétendue lutte contre ce fléau.
Durant les fêtes de fin d’année, le journal Le Figaro a publié une série d’articles sur les personnalités du monde du tennis ayant suscité l’agacement en 2024, notamment en raison de deux affaires de dopage impliquant les numéros un mondial Jannick Sinner et Iga Swiatek, révélant des contrôles opaques, des suspensions inégales et des dysfonctionnements de l’Agence internationale pour l’intégrité du tennis (ITIA), notamment concernant la gestion des contrôles antidopage, la durée des suspensions (un mois pour Swiatek, cinq mois plus tard pour Sinner avec une sanction légère, contre quatre ans pour Simona Halep pour un contrôle positif similaire, ou huit mois pour Mikael Ymer pour trois manquements aux règles sans contrôle positif), et l’accès inégalitaire à une défense juridique de haut niveau selon le statut du joueur, comme l’a souligné Novak Djokovic, soulignant des incohérences dans le traitement des cas de dopage au sein du tennis.< /html>
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